Les japonais sont un grand peuple. Leurs maçons jouent avec la pierre, leurs charpentiers avec le bois, leurs forgerons avec le fer, et leurs artistes avec la vie, la mort et tout ce que l’œil peut embrasser. Dieu merci, ils se sont vu refuser cette suprême touche de fermeté dans le caractère qui les rendrait capables de jouer avec tout le grand univers.
Nous possédons cela - Nous, la nation du globe à fleurs, de paillasson en laine rose, du petit chien de faïence rouge et verte, et du funeste tapis de Bruxelles.
C’est notre compensation…
(Rudyard Kipling – Lettres du Japon – 1889)
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