jeudi 10 mars 2011

Sigmund F. qui de son côté

« Sigmund F. qui de son côté parvint à trouver comment assouvir et réglementer ses passions, tout en s’en mettant plein les fouilles, …mais il semblerait qu’on n’ait pas le droit de le dire trop fort, …ainsi que ses nombreux successeurs qui lui doivent tout car ils en font autant, …Sigmund F. de son vrai nom A. Himmelstück, souvent cité, dans nos lignes sous ce nom aux fortes consonances poétiques et donc tout à fait indiennes dans leur rapport à la nature le grand tout, Flaque, Morceau de ciel, pensez donc…, …peu chez les autres, venait d’Amérique du sud, contrairement aux idées reçues, mais s’agit-il, nous en sommes à peu près sûr, bien, du même individu ? …son ancêtre, un indien parmi d’autres indiens, de la tribu des Huacaro, proche territorialement des Mapuches, comprenait sans analyser, sa propre-pensée. Pensez-donc. Ne comprenant pas bien l’excessif intérêt de ces européens débarqués de fraîche date, de cette Europe lointaine qui hier encore, n’existait pas. D’un côté du terrain, de nombreux conquistadors anonymes, et de toute façon envahisseur tortionnaires de leur état, imbus-emplis d’un intérêt-excessif pour l’or, parlant un drôle d’espagnol d’époque. De l’autre, ces indiens d’Amérique ou d’Inde Occidentale, selon, donc ces sauvages de l’époque, tout de même inventeurs organisés en états tout aussi au point et bien autant qu’une dictature d’aujourd’hui, …donc l’ancêtre de Freud, …majoritairement se demandaient ce que les conquérants espagnols voulaient faire de tout cet or tant ils en étaient assoiffés.

Dans le sud du Chili on raconte que les Mapuches eux qui selon l’infâme Augusto P. U., et ceci rapporté plus ou moins à demi mots par Roberto B., étaient portés sur la télépathie et communiquaient suivant un grand réseau mondial…, avaient fait prisonnier le conquistador Pedro de V.. Pour étancher une fois pour toutes sa soif d’or, ils le forcèrent à boire de l’or fondu. Les Aztèques du Mexique non plus, ne comprenaient pas cette soif de l’or, européenne. Pour eux l’or était lié aux excréments, raconte Tzvetan T.. Monnaie et excréments venaient du même endroit. On se touche la poche arrière, on ouvre la bourse en cuir, et on déplie les billets, je cite. L’ancêtre de Freud était Aztèque plus que Huacaro, mais je pense qu’il avait des influences Mapuches, ce qui ne l’empêchait de s’en mettre plein les fouilles, fouilles qui sont comme on sait quand on le sait, un des nombreux vocables désignant la poche arrière. Plus ou moins. On le sait.

Toutes nos analyses nous montrent en effet dans la vie un effort pour remonter la pente que la matière descend. »

(Jules Actéon – Histoire et grandes figures)

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