"Bioy Casares racontait que l’écrivain argentin Enrique Larreta lui avait un jour affirmé « que son intelligence était si active qu’elle ne lui permettait pas de lire : chaque phrase lui suggérait une foule d’idées et d’images qui le détournaient vers ses propres univers mentaux et lui faisaient perde le fil de la lecture. »
Alberto Manguel/ Journal d’un lecteur
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